Qu’est-ce le Reiki ?

Le Reiki est une technique de guérison naturelle, fort ancienne consistant à harmoniser le corps physique, éthérique et mental et à accroître l’énergie vitale du corps.

Des chercheurs de l’université de Stanford sont parvenus à déterminer, avec l’aide d’appareils très sensibles, que l’énergie pénètre par le sommet de la tête et qu’elle émane des mains du donneur.

Au cours des âges, cette énergie a été nommée de façon différente : Le Saint Esprit chez les Chrétiens, le Ka chez les Egyptiens, le Pneuma chez les Grecs, le Chi chez les Chinois, le Prana chez les Hindous, … pour n’en citer que quelques unes.

Nombreuses ont été les races et les cultures qui ont eu connaissance de ce savoir. Pendant des milliers d’années, elles ont acquis une connaissance profonde de la nature de l’esprit, de la matière et de l’énergie. Selon l’époque ou le lieu, le chemin pour acquérir ce savoir était bien dur et initiatique, réservé souvent à certaines castes, parfois gardé jalousement par des sociétés occultes et transmis oralement dans le plus grand secret.

Historique du reiki

Voici l’histoire romancée du Dr. Mikao Usui. Il est difficile de faire un historique exact car il est resté très discret

A la fin du siècle dernier, le Dr. Mikao Usui, est professeur de théologie chrétienne à l’université Japonaise de Kyoto.

Au cours d’un discussion avec ses élèves, l’un d’eux lui demande s’il met en pratique tous les enseignements de la Bible à la lettre. Ce à quoi le professeur répond par la positive…

C’est alors que les étudiants lui rappelèrent les guérisons miraculeuses de Jésus-Christ soulignant l’une de ses paroles : « Celui qui croit en moi fera les oeuvres que je fais. Il en fera des plus grandes même ».

Mikao Usui ne sait que répondre, et selon le code d’honneur japonais un doyen se doit de répondre à toutes les questions de ses élèves.

Il démissionne donc et prend la décision d’élucider ce grand mystère. Ses recherches commencèrent à Chicago, elles se révèlèrent infructueuses. Il retourna donc au Japon dans l’espoir de retrouver des faits nouveaux.

Chaque fois qu’il exposait ses préoccupations il reçut la même réponse : – De nos jours on s’intéressait d’avantage aux guérisons spirituelles. Mais cette réponse ne lui satisfaisait pas, et il continua encore et encore.

Après de nombreux echecs, il se rendit dans un monastère Zen où pour la première fois on l’encouragea à persévérer dans cette voie. Le supérieur convint avec lui qu’il devait être possible de guérir le corps physique comme l’avait fait Bouddha, mais que depuis des siècles la rcherche spirituelles avait prévalu. Le prêtre déclarant que ce qui avait été fait avait été accompli à une époque devait pouvoir l’être à une autre, invita Mikao Usui à poursuivre ses recherches.

Plein d’espoir, Mikao se plongea donc dans l’études du Soutra en japonais, mais voyant qu’il n’arrivait à rien il se mit à l’étude du chinois en vue d’approfondir tous les textes des soutras existants dans cette langue. Là encore les résultats furent minces, mais il n’en poursuivit pas moins l’étude des soutra tibétains et donc dû apprendre le sanscrit…

C’est sans doute peu de temps après qu’il fit un voyage dans le nord du Tibet. Des manuscrits tibétains découverts au siècle dernier relatent les pérégrinations de saint Isa, que plusieurs érudits ont identifié à Jésus-Christ. Personne ne peut affirmer que Mikao ait eu accès à ces documents ou à d’autres relatant des cas de guérison. Mais il apparaît qu’après avoir accompli son étude des soutra tibétains, Usui pensait être en possession de la vérité sur les guérisons du Christ. Il lui restait maintenant à la mettre en pratique. Il rendit donc visite à son ami le prêtre Zen afin qu’il le conseille. Ensemble ils méditèrent sur le sujet et tous deux parvinrent à la conclusion que Usui devrait se rendre sur la montagne sacrée (le mont Kuri Yama), située à environ 27 km de Kyoto, où il pratiquerait le jeûne et la méditation.

Parvenu à l’endroit, face à l’orient il empila les 21 pierres qui devaient lui permettre de mesurer le temps. Parvenu à la veille du 21ème jour jour de jeûne, c’était la nouvelle lune, Usui chercha, à tâtons, dans l’obscurité, la dernière pierre. Rien d’inhabituel ne s’était jusqu’alors produit, et il continua à prier avec ferveur. Tout à coup, il aperçut dans le ciel le vacillement d’une lumière, il la vit fondre sur lui en grandissant à mesure. Il eu peur et eu envie de fuir, mais se ressaisissant, il parvint à se convaincre que c’était peut être la le signe qu’il attendait.

Faisant face à l’imprévu, il reçu la force en plein front et crût être passé dans l’autre monde. Il vit alors des millions de bulles multicolores danser devant ses yeux, elles devienrent bientôt translucides, et il s’aperçut que chacune d’elles renfermait un caractère sanscrit de couleur dorée et en 3 dimensions. Ils lui apparaissaient un à un, ce qui lui permettait de les enregistrer dans sa mémoire. Usui fut envahi d’un sentiment de gratitude.

Il fut saisit d’étonnement en reprenant conscience, et impatient de partager son expérience avec son ami il dévala la montagne. Son corps lui sembla plus robuste, chose surprenante après 21 jours de jeûne… C’était le 1er miracle de la journée. Dans sa précipitation il trébucha sur une pierre et se blessa l’orteil. Voulant le masser pour calmer la douleur, il s’aperçut qu’en quelques instant l’épanchement de sang avait cessé et que la blessure se refermait rapidement. Après d’autres aventures qui lui prouvèrent l’énergie guérissante qui était née en lui, il arriva au monastère où le supérieur souffrait d’une crise de rhumatisme. Mikao se mit à lui raconter son aventure ce faisant il lui imposa les mains sur les parties douloureuses et rapidement la douleur disparût, ce qui stupéfia le prêtre. Usui lui demanda conseil quant à l’utilisation de son nouveau don, et le prêtre l’encouragea à pousuivre sa méditation.

Après mûre reflexion, il décida de se rendre dans le quartier déshérité de Kyoto pour y soigner les mendiants. Il se mit à l’ouevre dans le but de permettre à ces gens d’acquérir une nouvelle place dans la société. Mais qu’elle ne fut pas sa surprise quand 7 ans après, poursuivant sa tâche, il reconnut des visages familiers, qui ne se satisfaisaient pas de leur nouvelle vie. plein de désespoir Usui se demanda quelle était son erreur et il comprit qu’il n’avait pas su communiquer le sens des responsabilités.

L’échange d’énergie lui apparût comme vital. Tout acte reçut exigeait une contrepartie sans laquelle la vie était dépourvue de valeur…

Les symboles reçus prirent tout leur sens, ceux-ci devaient lui permettre d’harmoniser les individus pour leur permettre d’assumer la responsabilité de leur bien-être. En les aidant à accroître leur énergie, il leur serait possible de franchir un grand pas vers la maîtrise de soi.

Quand Mikao Usui eut affiné et perfectionné sa méthode, il forma ensuite de jeunes disciples.

Si vous désirez en savoir plus, je vous conseille vivement le livre de Paula Horan aux éditions EntreLacs avec comme titre :

 » Reiki

soigner, se soigner

L’énergie vitale canalisée par vos mains »

Les 5 principes du reiki

1. Aujourd’hui tu seras reconnaissant

2. Aujourd’hui tu ne te fera pas de souci

3. Aujourd’hui tu ne te mettras pas en colère

4. Aujourd’hui tu feras ton travail honnêtement

5. Aujourd’hui tu témoigneras amour et respect en vers tout ce qui vit

Le Dr. Usui formula les 5 principes du Reiki peu après avoir quitté les quartiers pauvres de Kyoto. Il prit conscience à cette époque de certains traits propres à la nature humaine. Il avait à l’origine entrepris d’apporter son secours aux mendiants dans l’espoir de leur fournir une planche de salut et un moyen de se réinsérer dans la société. Mais quand il s’aperçut que plusieurs échouaient dans cette voie, refusant d’assumer les responsabilités quotidiennes de la vie, un certain nombre de déductions s’imposèrent à lui.

D’une part, que la participation de l’individu dans le processus de sa propre guérison est essentielle. D’autre part, qu’aucun changement durable n’est acquis dans la vie si l’individu lui-même n’en éprouve pas le désir intime ou si sa volonté de guérir ne l’incite pas à en faire la démarche. Enfin, toute tentative d’aide à autrui doit s’accompagner d’un échange d’énergie. Car il avait constaté que la guérison reçue passivement ne faisait que renforcer les schémas négatifs chez nombre d’individus. En conséquence de quoi il convenait d’exiger une contrepartie de la part du sujet traité pour assurer sa collaboration.

Partant de cette réflexion, il définit 2 règles cardinales :

1. Qu’une personne doit demander à guérir (un praticien ne doit accepter de traiter que ceux qui ont sollicité un traitement)

2. Tout soin prodigué doit s’accompagner d’une contrepartie (être redevable à un tiers pour service rendu est en soi anormal, il est essentiel qu’il y ait un échange d’énergie d’une manière que ce soit, de manière à libérer la personne de toute obligation.

Il découvrit aussi qu’il était impératif que le praticien reste neutre vis-à-vis du résultat obtenu. Il est après tout possible que la vie de mendiant soit riche d’enseignement aux êtres qui ont en fait le choix. Il ne nous revient pas de juger pour les autres si leur choix est adéquat ou non. Ce même raisonnement s’applique à la maladie.

Pourquoi le reiki ?

La clé du reiki réside dans sa simplicité ! Alors que d’autres thérapies exigent des mois, voire des années d’enseignement pour former un praticien, le reiki peut être transmis au cours d’un week end.

Il est probable que pour l’individu acquis aux méthode de travail intellectuelles subordonnées à la durée, cette démarche paraisse déconcertante….

La différence essentielle réside dans le processus d’harmonisation qui place le reiki dans la catégorie des méthodes de travail sur l’énergie.

Le reiki confère un pouvoir de guérison à l’initié, notion étrangère à la culture occidentale depuis l’ère cartésienne.

La plupart des personnes familiarisés avec le corps humain (infirmières, médecins, thérapeutes…) et ayant reçu l’initiation, constatent un accroissement d’énergie immédiat ou de chaleur émanant de leur mains lors d’un traitement. Ceux qui ont n’ont pas l’expérience du corps humains, ou qui possèdent une sensibilité atténuée, expérimenteront également ces impressions mais un peu plus de temps leur sera nécessaire. En fait, ce n’est pas la perception proprement dite qui est mise en cause, mais plutôt les idées préconçues qui nous empêchent de percevoir le langage du corps.

Les effets du reiki

Le processus d’harmonisation est la clé de voûte de la méthode de guérison naturelle du Dr. Usui. Le Reiki est le mot japonais qui signifie force universelle de vie, et dont chacun de nous hérite à sa naissance. Tout individu peut transmettre l’énergie magnétique vitale à autrui par l’imposition des mains. Mais ce qui différencie la méthode Usui, la rend unique, c’est son processus d’harmonisation s’effectuant au cours d’une série d’initiations. Il s’agit d’une très ancienne technique tibétaine transmise par un maître sous forme d’énergie amplifiée.

Cette initiation agit chez l’individu en ouvrant un canal à l’énergie cosmique, qui pénètre par le chakra coronal vers les centres d’énergies supérieures et s’écoule par les mains. Le rhytme vibratoire du corps se trouve amplifié et amorce une période de purification de 21 jours. Celle-ci est rendue nécessaire par la présence de schémas négatifs et de blocages que l’activation du champ énergétique permet d’éliminer.

Le processus d’harmonisation peut être qualifié d’exceptionnel en ce qu’il permet d’accéder à l’essence même de notre être. Cela n’est possible en temps normal que lorsque nous nous trouvons dans un état de surconscience, cas tout à fait rarissime.

Le reiki fournit le stimulus qui accélère le processus d’accès à cet état de conscience. Une pratique quotidienne du traitement personnel permettra de développer ce pouvoir tout en l’affinant. Si vous décidez de recevoir l’initiation au Reiki, vous irez au-devant d’un grand développement de la conscience, et d’une période de purification au cours de laquelle vous pourrez vous affranchir de vos vieux schémas.

Recevoir cette initiation, c’est faire un pas décisif vers la maîtrise de soi.